Moi aussi, en cuisine...

J’ai effectué un atelier de cuisine. J’ai bien souvent eu l’envie de faire un atelier de cuisine, et j’ai eu l’occasion. J’ai effectué cette formation à Nice avec un grand chef qui utilise aussi la cuisine ancestrale. Et au menu, une exécution des plats fondés sur l’huile de noix. Assez intéressant. Vrai origine de la noix, la région du Périgord, via les hommes de préhistorique, cultivait alors la noix, il y a près de X mille sept cents années. Au fil du temps, la noix évolua pour devenir plutôt rare, en conséquence, plus tard, au 10ème siècle, les paniers de noix concourraient à payer les dettes des fermiers, cependant que, 2 Siècles après, l’oléolat de noix, apprécié, ainsi, comme aussi onéreuse que l'or, concourrait à rembourser les dûs. Ses consommations étaient à ce moment là éclectiques: les éleveurs la consommaient ainsi en cuisine et pour enluminer leurs maisons, alors que les femmes se savonnaient avec des savons conçus à base d’ huile de noix. C’est de plus ces transactions de l'huile qui a assuré l’enrichissement du territoire. J’ai eu la chance de préparer 3 bons mets, avec un angle de cuisine moléculaire, puis qui s’est ensuite suivie de l’appréciation des mets avec les autres participants. C’était relativement agréable. A l’heure qu’il est, les ateliers alimentaires sont souvent suivis et la nourriture passionne les foules. Egalement pouvoir cuisiner permet de fait d’éviter la destruction alimentaire. Chaque personne rejette de cette façon 22Kg tous les ans. La résistance contre la destruction alimentaire sera une des luttes en France l’année suivante. Je suggère un projet, qui est d’organiser des cours de cuisine afin d’ inculquer à usiter tous le reliquat et éviter donc de jeter. Pour moi cela sera une bonne suggestion. Cliquez sur l’expression si vous pareillement vous envisagez de effectuer un cours de cuisine.